Exposition "Discover Brazil" au Ludwig Museum im Deutschherrenhaus, Coblence, Allemagne.
L'expo réunira les oeuvres de 16 artistes brésiliens, et se fera à la suite d'une exposition de photographies actuels du Brésil.
Les artistes : Brígida Baltar, Frida Baranek, Cláudia Camposs, Cristina Canale, Antonio Claudio Carvalho, Marcos Chaves, Hugo Fortes, Siron Franco, Cao Guimarães, Luiz Hermano, Artur Lescher, Jaildo Marinho, Valérie Dantas Mota, José Patricio, Felipe Senatore, Marcelo SilBrígida Baltar.
Vernissage : le 2 septembre à 18h00 et conférence de presse às 11h00.
Exposition de 2 septembre au 6 novembre 2005.
Le 3 septembre a lieu la "nuit des musées" à Koblenz où le musée ouvrira la nuit et proposera aux visiteurs un programme sur le thème "Brazil total" avec des animations variés.
Le musée se trouve à coté du "Deutsches Eck", le site touristique principal de Koblenz. L'expo réunira les oeuvres de presque une vingtaine d'artistes brésiliens, et se fera à la suite d'une exposition de photographies actuels du Brésil.
Teresinha Chiri, vit et travaille à São
Paulo, au Brésil. Maîtrise en arts pour L'Ecole de Comunication
et Arts de L'Université de São Paulo. Elle est plasticienne et
art-éducatrice. Utilize en sa langage plastique des matières
prises de la nature, en gardant sa mémoire et en défendant sa
préservation. Son travaille non seulement divulgue la culture brésilienne
comme aussi ouvre la problématique sur les graves dommages ambiantalles
que sont survenent a la planète. Au usufruit d'un des recours de la nature, qui c'est le latex, et l'use
pour construire sa poétique plastique, tente faire que la societé
refléte que l'usage juste et écologicament correct de la nature
c'est viable aussitôt que se crée um maniement soutenable que s'applique non seulement a requis économique,
mais, surtout aspects sociales.
Hugo Fortes travaille essentiellement
autour de la thématique de l’eau, par le biais d’installations, de photographies
et de vidéos. Les transparences, les fluctuations,
les réflexions sont utilisées pour exprimer le passage du temps
le sublime et le vide.
Valérie Mota vit à Sao Paulo et
développe un travail digital-artisanal où le travail manuel tient
son importance dans l’exploration de la relation entre l’homme et l’animal.
Dans une
série de photomontages, Valérie nous présente son concept
du cycle de la vie. Elle présentera aussi une série de sculptures
en feutre dont la fragilité et la forme évoquent yoni.
Cláudia Camposs vit en France cherche à montrer
son indignation face au mépris de la civilisation contemporaine pour
les peuples indigenes brésiliens. Cláudia
utilise les matières comme l’écorce d’arbre, les boites, les miroirs,
les photos pour stimuler une réflexion sur ce peuple souvent regardés
comme des objets de curiosité parqué
dans leurs réserves, ou évoqués dans des musées
appartenant au passé, ou encore exposés aux forces qui tendent à les
massacrer. Par son association "Terre Indigène,"
elle réclame des plans
d’actions en leur faveur.
Ludwig Museum im Deutschherrenhaus, Koblenz 56068
mailto:info@ludwigmuseum.org
http://www.ludwigmuseum.org